Neuf flights ont pu être courus lors de la première journée des Internationaux de France de Match-Racing 2021. Les habitués de la discipline répondent présents, à l’image de Simon Bertheau, qui prend l’avantage ce soir. Le jeune Tom Foucher crée la surprise en s’offrant Pierre-Antoine Morvan d’entrée de jeu.

Les conditions météo de cette première journée des Internationaux de France de Match-Racing étaient idéales : le vent a soufflé toute la journée, permettant de courir neuf flights, soit 36 duels. Sous le soleil. Toute la journée. A l’issue de cette première journée, Simon Bertheau prend l’avantage. Le licencié de l’APCC Nantes remporte ses 6 matches courus aujourd’hui. Le finaliste de l’épreuve en 2018 sera à surveiller de près cette année encore.

Il devra tout de même se méfier du Normand Maxime Mesnil, qui échoue uniquement contre Pierre-Antoine Morvan. Le meilleur danois de la discipline, Jeppe Borch, semble avoir rapidement pris la mesure du plan d’eau de Pornichet. Lui aussi chute seulement contre le quintuple vainqueur de l’épreuve.

 

La surprise du jour vient de Tom Foucher. Du haut de ses 20 ans, le local est le seul à s’offrir Pierre-Antoine Morvan aujourd’hui. Le récent médaillé de bronze du championnat d’Europe Jeunes de Match-Racing donne le ton d’entrée de jeu. Dans le Top 5 ce soir, il s’assure ainsi une place en quart de finales, pour sa première participation à l’épreuve.

La journée de demain sera consacrée à la fin du Round Robin et les premiers matchs des quarts de finales seront lancés. L’occasion pour Tom Foucher de confirmer.

 

Tom Foucher : « La journée s’est super bien passée, dans des conditions géniales. On a remporté 6 matches sur 9, notamment contre des personnes très très fortes. C’est notre première participation. On n’est pas étonné, mais on est très content. On se sent bien sur l’eau, on est à l’aise techniquement et on a une bonne vitesse. Le niveau est incroyable. Ce sont tout simplement les meilleurs de la discipline qui sont présents. Ça nous permet de prendre de l’expérience et de voir que l’on peut rivaliser. »